La construction en Brique Rouge VS Parpaing traditionnel
Il est on ne peut plus logique de s’interroger sur les matériaux de construction, qu’il s’agisse d’une construction neuve à titre de résidence principale ou d’une résidence secondaire que l’on projette de louer plusieurs mois par an pour en tirer des revenus.
Les atouts et limites du parpaing
Pour débuter, nous devons souligner la robustesse du parpaing, élaboré à partir de blocs de béton. Sa fixation s’opère grâce à un mortier composé de sable et de ciment. Sa deuxième qualité n’est pas à négliger, en particulier dans les zones très arborées du Midi de la France, c’est sa résistance au feu.
Par ailleurs, sa mise en oeuvre n’est pas complexe, elle est maîtrisée par l’essentiel des maçons. En outre, et c’est sans doute l’aspect le plus essentiel pour de nombreuses personnes, c’est un matériau bon marché, plus économique que la brique. Pourtant, des constructeurs le délaissent au profit d’autres solutions, à cause de limites considérables. D’une part, le parpaing n’assure pas une bonne isolation, d’autre part, il ne permet pas de concevoir des formes de bâtiment très spécifiques.
Les avantages et contraintes des briques rouges
Son grand concurrent dans le sud-est demeure la brique rouge. Elle est est en terre cuite à base d’argile rouge et verte que l’on mélange avec un peu de sable. Son principal atout est esthétique, elle offre en effet un cachet incomparable ! La brique est écologique, sa production est moins polluante que celle du parpaing et elle ne nécessite pas la pose d’enduit ou d’un revêtement de façade.
Les constructeurs la plébiscitent donc pour son étanchéité conséquente mais aussi pour sa forte inertie thermique et sa faculté à réguler l’humidité. On distingue premièrement les briques de parement, des éléments à vocation décorative. Il y a ensuite les briques pleines, qui composent les murs extérieurs et porteurs. Sont également utilisées des briques plâtrières, pour la construction des cloisons intérieures des murs de refend.